L’oubli de la mort
est la pourriture du coeur.
L’oubli de la mort
est la pourriture du coeur.
Dans ce puits l’eau est séquestrée
dans la rue d’a coté le feu brûle
peuplé par la transgression
du tigre de fer.
L’homme oubli se qu’il ne veut pas
voir.
Sans l’oubli la vie de l’homme
serait trop lourde.
Tais-toi tu pollue le silence
et l’air de la nuit
la religion pourrait-elle être altérée
du souffle d’un tourment.
Celui qui oublie d’où il vient
ne sais pas où il va.
Celui qui oublie sa faute
grossit celle d’autrui.
Un spectre un arc-en ciel
comment est -il venu?
où va t-il ?
Il a la couleur d’un ciel la beauté d’un matin
le visage au regard du temps.
L’os qui pousse dans le coeur
est une anomalie.
L’hyène à mangé l’os ce que
elle est sûre de son estomac.