Au rang de souvenir
On entendait des joyeuses paroles
La langue des fées
Qui dansaient les fleurs
du printemps aux joies
des papillons.
Au rang de souvenir
On entendait des joyeuses paroles
La langue des fées
Qui dansaient les fleurs
du printemps aux joies
des papillons.
Le menteur à toujours une avance
sur la vérité.
Les mauvaises paroles
agrandissent la dete.
Le bruit sourd de la rue
pousse la curiosité au pas de la porte
La porte regarde
Le silence par intermittent
Et les passants le regard fixe
Chacun regarde les étoiles.
Tous les riches veulent
toujours plus.
Les richesses sont l’aliment
des appétits.
Je ne peux pas m’expliquer
le pourquoi de cette absence
Tu es autre la paix
Une vie difficile un mode périmer
Dans les temps actuels
morose est la pensée.
L’esprit de revanche abouti
au remords.
La vie court sans savoir
derrière quoi elle court.
Au retour de sons suivant la direction du vent
On entendait des braises crépiter
De mauvaise augure le vent chantait
La langue des nuits noires.