Effacez o maître
Dans un balaie aux bras de lumière
Les itinéraires poussiéreux
Pour que vivent le printemps
Et le parfum que frissonne
L’amour a nos yeux.
Effacez o maître
Dans un balaie aux bras de lumière
Les itinéraires poussiéreux
Pour que vivent le printemps
Et le parfum que frissonne
L’amour a nos yeux.
Quand tu crois l’avoir compris
la vie s’éloigne de toi.
Quand tu prospère tu as des amis
et quand un malheur te frappe
ils s’éloignent.
Voici l’horizon
Tiré par le char des rayons
Et l’éternité des temps
Monte les sentiers et la descente
d’un cortège des parfums
A arrosé le néant.
Toute demande voudrait
être satisfaite.
On supporte mieux le malheur
quand il est partagé.
L’astre irisé
Déploie sa lumière
Comme un feu d’artifice géant
Dans des plies des crépuscules
et les aurores écarlates
Précèdes toutes demandes
Aux prières des uns et des autres.