O joie c’est toi ce parfum
Et cet air de printemps
C’est toi la joyeuse la roue des ondes
C’est toi ce silence qui caresse toutes les fleurs
C’est toi qui donne cette implosion à la terre
Qui s’offre au ciel.
O joie c’est toi ce parfum
Et cet air de printemps
C’est toi la joyeuse la roue des ondes
C’est toi ce silence qui caresse toutes les fleurs
C’est toi qui donne cette implosion à la terre
Qui s’offre au ciel.
L’illusion est toujours en avance du rêve.
Dans certaines situations celui
qui n’a pas le choix se dit patience.
En une heure
A l’insu des homme et des femmes
S’ouvre la terre à la plainte du monde
Un deux trois dix mille vingt mille
Implosion des rayons des fleurs
Explosion de la vie du soleil
Myriades de couleurs au rendez-vous du regard
Miroirs aux images des mirages
Présent avenir dans un seul couloir
Qui était embryon dans le creusé de la vie
Qui se découvre en battant de l’aile
Comme la plume est à l’oiseau
tout revient au point du départ.
A part la souffrance qui peut
expliquer la douleur.
A part le plaisir qui sait jouir
du bonheur.
Plus subit que le cri de la mort
Odeur d’un après-midi proche instant au coeur d’une clairière
Qui donc est là depuis toujours
Dont on ignore la présence
Que pourtant nous guettons avoir lu
Au detour d’un tronc
Quand certaines nuits on s’attardait un peut trop.
Demain est toujours l’élan vers
l’espoir avenir.
L’inconnu est toujours la part
de demain.
Quand s’approche le printemps
Tout est a l’air libre évaporer
Sans l’offrande des fleurs traces de pinceaux
Ou de papillons en vol
Lumière d’un rayon au feu de l’astre
Un rien de la beauté se lève encore
La cime de la joie pointe son sourire
Comme des vacances l’abeille dans la prairie.