L’énigme reste toujours dans ce qui
est invisible inconnu.
L’énigme reste toujours dans ce qui
est invisible inconnu.
Par chaque pensée le savoir
est enrichi.
Au passage des tempêtes
Nous nous abritons sous les palmiers
L’esprit du vent à vécu
Nul arche ne nous protège
Nous connaissons la juste mesure
Nous connaissons le pas sans prévoir le déferlement du vent
Nos montagnes nous font un abri dérisoire au passage de l’harmattan
Prend éwélen pas une seule brindille n’est épargnée
Ou les fumées rejoignent les horizons s’envolent les perdrix.
N’est pas perdu que celui qui n’a
pas encore entamé le chemin.
Par la fumée de mes pensées
J’entends le message du ciel.
La beauté au fond du cratère
Déjà cendre que vaut le rayon que vaut le soleil
parures des jours d’été
Qui les portent au seuil du crépuscule
Nous avons tant attendu le défilé des étoiles
Entre les vagues de la nuit
Bruit seul le vent en réponse aux tempêtes internes
Sourd à l’appel des oasis
Que vaut le jour sans le soleil
Que vaut la nuit sans la lune
Déjà mourant chaque instant est un souvenir.
Par le scintillement de chaque étoile
le ciel montre sa beauté et sa grandeur.
Au bout de chaque tracé il y a l’horizon.
L’infini finement fini est la page du voile terminant chaque regard
Déjà posé des règles de un à neuf au contour débordant vers les pentes
De tous les horizons on sait que derrière chaque horizon un autre horizon
pointe une étoile qui elle tourne autour d’une galaxie
Mystère toujours fuyant à la vigilance de chaque penseur dans l’ombre
de la lune et au phare du soleil qui cherche toujours a les éclairer.
Au bout du bout il y a toujours un reste.