Ténéré lui révélerais-je son identité
confusion au bord de dune
deviennent les maux les blessures
enracinées dans le sable
mémoire ancienne de parole et de nostalgie.
Ténéré lui révélerais-je son identité
confusion au bord de dune
deviennent les maux les blessures
enracinées dans le sable
mémoire ancienne de parole et de nostalgie.
Je toucherais le vent
caresserais les étoiles dans le ventre
de la nuit afin q’elles deviennent le charme
de mes désirs et revêtissent mes chemins.
Le prince connaît le temps
le palais est son monde
chaque jour devient son miroir
la nuit son guide et la lune distille
sa sève dans sa mémoire.
Embrasé d’amour est le maître de mon coeur
Affable les parfums du printemps
il consent à s’expatrier sur la face de la lune.
Hier au bord de mon âme
poussait une rose
les éclairs de mon regard
qui agitent les vagues de mon esprit
pour que je proclame davantage l’amour
de dieu.
L’amour veut que la poésie vive
libre le vent par lune et les étoiles
Dans les coeurs des amours
Dans le regard des amoureux.
Dieu voulut que la prière fût
pour sa gloire et sa grandeur
pas pour un seigneur ou un roi
mais libre comme le vent et comme
le parfum d’une rose.
ö lumière prends-moi
comme se les parfums des roses
soit ma nuit ma demeure.
Voici les jardins des balades
avec leur habit de soie
qui parsèment les étoiles
par le parfum de vos âmes.
Ici et maintenant serai-je un autre?
Qu’ai-je fais
Qu’est-ce que j’entends voici ma route
l’aurore du temps des jours
Aux feuilles du palmier le vent
les nuits sont des navires vogue encore
le temps.