Si dieu n’accepte pas ma vie
comment ce que je désir pourrait-il s’accomplir
Puisque son amour est la certitude
c’est donc moi qui doit me plier.
Si dieu n’accepte pas ma vie
comment ce que je désir pourrait-il s’accomplir
Puisque son amour est la certitude
c’est donc moi qui doit me plier.
Sur la tige la rose trône
que la rosée à nourrit
Camarade au bord du pré
comme une pensée douce
l’air parfumé par les effluves du matin
dans les plis de la rose.
Si tu doit mentir
alors ment pour sauver ta vie
cherche la compagnie des sages
tu reviendra sur le droit chemin
la sagesse de la rue est légère
elle fait de l’a peu près.
Puisque nous avons aucune certitude
ne restons sans rien faire
proie à l’inquiétude avec un peu
d’entrain forcer les jours
mais en restant modérée.
La lumière ce breuvage éternel
il faut le boire
la source de la joie ici dans ce monde
C’est comme une eau il faut boire
qui passe le chagrin la douleur
comme l’eau de Zam-Zam immortelle
il faut boire.
Le temps s’étire par les portes de l’horizon
Sans contradiction
et heureux le sort de la lune sans peine
profite aux étoiles et au vent
sans regret les nuits et les jours passent
vers le ciel sans peur.
Je voulais lire la page de la vie
Or voici qu’un maître à déjà la place
Me dit-il soit heureux celui qui boit la lumière
est l’ami tout au long de la vie.
Le fouet du destin t’envoie à toutes les tempêtes
de haut en bas mais il faut savoir te tenir
Car le maître de la cérémonie qui te guide
est celui là qui connait le comment et le pourquoi.
Si jamais je pouvais atteindre la nuit
Toucher la lune et boire le rayon
Et si jamais du plus aride paysage
la poussière me conduisait
le vert espoir de ma tendre enfance.
point de bonheur sans la vie
Chaque grain est poussière
chaque regard un vide dans l’abîme
et le monde tourne les pales du temps.