ö lumière prends-moi
comme se les parfums des roses
soit ma nuit ma demeure.
ö lumière prends-moi
comme se les parfums des roses
soit ma nuit ma demeure.
Voici les jardins des balades
avec leur habit de soie
qui parsèment les étoiles
par le parfum de vos âmes.
Ici et maintenant serai-je un autre?
Qu’ai-je fais
Qu’est-ce que j’entends voici ma route
l’aurore du temps des jours
Aux feuilles du palmier le vent
les nuits sont des navires vogue encore
le temps.
Ah! tombouctou tête dans les étoiles
Langue aride et yeux sur la dune
Qui pourrait embellir ce vide
pour ton nom qui le conduira
a renaissance?
l’angoisse égorge la lune
le roi attend des éloges
cela me déplaît
ö gardiens des éthiques
Enflammez-vous contre cette moral
qui exige.
Voici Tombouctou derrière les dunes
Je perçois Farouk
les flammes de l’astre braises sortant du sable
on me raconte l’histoire d’une dame
aux généreux seins nourrissant la ville
l’eau du puis fait son éloge.
Je chevauche le temps
un voyage imaginaire
Qui emprisonne ma lune
et libère mon soleil
par les l’étoile polaire .
qui je suis si je déclinais ma naissance
je suis une idée qui brûle un esprit
qui passe un vent qui m’efface.
Un voyage éternel chevauchant
la prière et l’errance de l’esprit
ce que traverse l’âme
avant d’en grisonner le soleil et la lune.
je m’imagine comme dans les tréfonds
de l’abîme je m’imagine parfois dans la lumière
mon désir profond mes moyens sont la prière
la demande mes victimes les mots
et parfois j’imagine les maux en montagnes.