Que dirais-je à mon aujourd’hui
ici que dirais-je à mon hier
les lunes passaient et le vent écoutait
la vague en moi pour le lieu
d’y a un an.
Que dirais-je à mon aujourd’hui
ici que dirais-je à mon hier
les lunes passaient et le vent écoutait
la vague en moi pour le lieu
d’y a un an.
Un pays pas une fois il ne dit je suis
laissez-le aux vautours
aux loups des alentours
qui festoient avec les boyaux
de la grand-mère .
Où va t-elle cette vie?
dans grotte où à la source
Angoisse et métaphore
dans mon esprit pareille au vent
sur la face du désert.
Comme l’amazone
je suis un voyage profusion
Son court est le mien
Et la terre en moi est fertile
le vert est ma couverture.
Dis à ta rose
que toutes les roses sont une passion
qui inspire l’amour pour chaque
parfum distillé.
Mes paroles et mes doutes
solitude sauvage dans mon sommeil
vers le chemin d’une résolution
Et ce qui transcende ma décision.
Dis à ta poésie
que ton âme est partie
prenante aujourd’hui
demain la négation de ton esprit
la passion d’une fleur inspire le temps.
Mes acacias chantaient
Ces airs flottants de la dune
le sable un autre concert habitant
des plaines disaient ou sont mes
souvenirs mes yeux mon coeur.
Mes dires et mes mots
mon silence et ma solitude
sauvage comme vers les origines
et ce qui transcende le temps.
Il se peut que le niger
soit une promesse mes frères
pour des enfants qui viennent
veillent et sondent mon esprit
mes entrailles le jour
et dorment sur ces rives.