Le destin roule la ronde
serait-ce la langue du désespoir
dans le désir la pensée humaine.
Le destin roule la ronde
serait-ce la langue du désespoir
dans le désir la pensée humaine.
De ce rocher coule ma douleur
sur la plaie de mon âme
et dans mon coeur
peut-il me faire ombre
à mes malheurs.
Prends-moi dans tes rayons
dans tes yeux le soleil
sur ma route marche le jour
oublie la nuit.
les vestiges d’une vie
il se peut que le vent balaie
les restes des terreurs problématiques
s’ouvrent dans le passé et dans l’avenir
sur la marche d’un coeur contrit
O lumière vient par les yeux du temps.
Vacarme
ni roche ni arbres
ni rivière ni dunes
Vacarme dans l’espace du regard
de la vie.
Dans le regard d’une aurore
au visage d’enfant
je vois autour de la plaine
la maternité du jour sur une terre
vierge qui couve l’oiseau dans son nid.
Les araignées tissent leurs couvertures
a travers le vent dans les bras du soleil
dans la rosée au matin
ils pensent demain l’avenir
est tisser fil par fil.
jusque quand ma langue
commence ce périple
des mots des discours
la tragédie d’une vie est le vent de nos
dires de nos désirs.
Entre nous mille et une guerres
entre moi et la vie des ténèbres
toujours grandes
entre nous ce que je ne peux changer
c’est le cour de cette vie
qui est la main posée au coeur même
de cette vie
mais l’espoir est permis.
Tu parle du remords
oui il vient toujours après
ton esprit mon âme deviens-tu
autre que la pensée autre que toi-même
souvent nous cherchons en hâte
nos douceurs.