L’opulence règne les discordes
se multiplient de même que le chaos
chacun crois êtres le plus grand
le plus fort et le meilleur
mais le vrais est dans l’indigence.
L’opulence règne les discordes
se multiplient de même que le chaos
chacun crois êtres le plus grand
le plus fort et le meilleur
mais le vrais est dans l’indigence.
De nouveau aux portes du vide
s’ouvre l’espoir sous la voûte
de ton coeur un espace lieu de repos
dans la poitrine de ton prophète
avant le chaos.
J’ai vu tombouctou Bagdad à côté
Alep qui appel la Sijordanie
Assawa qui à soif et Bourem
cassé et la dune qui pleur par les larmes
du fleuve niger.
La Palestine est la tension dans le regard
du monde est-ce une fatalité
la mort d’un enfant la matrice d’une vielle
ouverte au vent de nouveau s’enivrer des têtes qui volent
comme des feuilles et des fleurs fanées.
La rupture est la rouille du désespoir
et les pensées étreignent le vent
par le charme du vide de l’ancienne
blessure morceau de ton coeur.
Le sable couvre les cils du loup
voici son cri à la lune
désespoir et espoir à minuit
au bout de la faim qui tenaille.
Illusion de vent du sable
est l’automne le Printemps
ces cloches suspendues au sommet
de nos pensées par la pluie brisée le rocher
dans les terres de l’horizon.
Voici le lion qui avance
cependant ses yeux n’éjectent pas des flammes
où cette légende vivante a-t-elle pris le large
savane sous sa domination des proies
qui disparaissent le vent dans sa crinière.
Le destin roule la ronde
serait-ce la langue du désespoir
dans le désir la pensée humaine.
De ce rocher coule ma douleur
sur la plaie de mon âme
et dans mon coeur
peut-il me faire ombre
à mes malheurs.