Jaloux
Je dirais à la casse de la nuit
laisse-moi palper tes aurores
avec mes regards enflammés
le bonheur de tes feux.
Jaloux
Je dirais à la casse de la nuit
laisse-moi palper tes aurores
avec mes regards enflammés
le bonheur de tes feux.
Généreux est le soleil qui se lève
vers moi et je le remercie
je t’en prie prends moi
ne te fatigue pas .
Est-ce les larmes qui coule l’amour
sur le temps avenir?
Est-ce le silence qui cris
pour me raconter ses amours.
Le bleu du Nil donne sa poitrine
aux rivages un berceau de la vie
pour la faune les roseaux
mamelle de ses affluents.
La morsure du soleil sur la poitrine
de l’horizon bleu de ses regards
visage contre visage offrent
un landau au temps pour les champs
et les prairies.
Avec le sang de tes larmes
tu appressi le fruit de ton travail
par le sable de tes jours
et l’eau de ta vie.
Avec le sang de la caravane
coule l’huile de la douleur
le passage de sable et des étoile
par dessus les horizons
qui boivent l’eau des talons.
Sur chaque parcelle de la terre
écoute la voix de la lumière
le temps disait les pleurs de ses victimes
Des passants du tunnel Palestine est à genoux
Reste un égaré l’enfant au corps déchiqueté.
Avec mes déchirement j’ai cousu
ma poitrine avec les larmes de la Palestine
et visité les vestiges des restes des enfants
parce que mon amour est mort
à la porte de Jerisalem.
écoute le temps par la lumière
ne te préoccupe pas des passants
Reste perdu dans la lune
à la porte du voyage.