Le spectre lumineux étend
ses rayons par les bras
de la joie vers la terre pour un moment
le bonheur est jaloux.
Le spectre lumineux étend
ses rayons par les bras
de la joie vers la terre pour un moment
le bonheur est jaloux.
Le temps lui prête ses oreilles
ses bras par le jour
la poussière sa cathédral
sur son visage la lune.
Tais-toi tu as pollué l’air de la religion
une religion pourrait-elle être polluée?
par le souffle d’un fanatique
ou par le tourment d’un esprit
agiter.
le jour offre ses lumières
en guise des yeux la poussière
sur le chemin sa signature
le vent le disait.
Sur la route je vois les montagnes
j’entends les paroles de la plaine
qui parait parfois sous l’ombre
des chameaux.
Sur les routes j’entends les frémissements
des paroles des lointains qui paressent
des parfois si prêchent mais lointain
des troupeaux de pas
et parfois des chameaux.
Il se peut que la lumière
à l’ombre du chaos manque
de lieu et prend la lumière
de ténèbres.
Confus une étoile erre dans chaque horizon
les fenêtres du temps s’ouvrent sur des ombres
la nuit gémit ses chagrins et dit ses jours
fiévreux qui plante ces glaives morsures
du vent.
Jaloux
Je dirais à la casse de la nuit
laisse-moi palper tes aurores
avec mes regards enflammés
le bonheur de tes feux.
Généreux est le soleil qui se lève
vers moi et je le remercie
je t’en prie prends moi
ne te fatigue pas .