sur les sentiers de la plaine
la gazelle dans sa nuit
est la peur.
sur les sentiers de la plaine
la gazelle dans sa nuit
est la peur.
l’eau du ciel à besoin
de la terre.
Il faut deux lames pour faire
un ciseaux .
l’oeil regarde son propre
image.
Celui qui escalade son ombre
à sa taille vacille l’horizon
par la tête de vent
regarde l’illusion.
Celui qui mange
avec les deux mains
risque de tout perdre.
La nuit c’est comme si je vois
le jour arriver dans les profondeurs
de mon âme accompagné des étoiles
dans les bras de la lune.
A quoi sert un coeur
qui n’a pas une place pour
dieu dans sa chambre close.
A quoi peut bien servir une main
qui ne sais pas donner?
Je ne répète pas tes paroles
les chagrins et les doutes
sont des chemins des remords.