A un grand homme on ne
dit pas la misère.
A un grand homme on ne
dit pas la misère.
A l’homme bien né
un mot suffit.
Exténué par ce temps qui cour
Je me rebelle dans une prison
comme à Gaza nuque tendue
le talon coupé et près du sabre
je pleure parce que mon chant c’est la mort.
l’arbre a besoin de sa racine.
Le fruit peut-il mûrir si
la branche est pourrie.
Les nuits sont des colombes
spectre féminin les fenêtres
ouverte sur l’amour.
Chaque mouvement apporte
son monde.
Le mouvement est la vie.
Orion aurait-il un autre rendez-vous
avec la lune par vent du soleil
dans l’espace de ton regard.
La perle à la valeur
qu’on lui donne.