Ni orient ni Afrique
plutôt le désordre du commencement
dans l’esprit d’un enfant malade
qui à faim dans la langue du couteau.
Ni orient ni Afrique
plutôt le désordre du commencement
dans l’esprit d’un enfant malade
qui à faim dans la langue du couteau.
La nature accueille toutes les âmes.
tout homme revient un jour
à la nature.
Soleil a ton regard j’ai vu ton image
je marche le mien au bord de la falaise
et vacille le désespoir dans chaos.
Chaque regard est l’épée
de son maître.
Chacun ne peut que être
sa nature.
Il se peut que la nuit cache
son coutelas dans la lune
au rêve du matin en perspective
du soleil égorgé.
Ceux qui sont vils
ne cherche que leur intérêt.
Leur nature est fade
ceux qui sont vils.
Ma parole soutient ma foi
est remède mes désirs
mon plaisir l’armée de mes pensées
au grand jour.