J’offrirais à la lune mon sourire
au soleil ma reconnaissance
et la nuit le cour de ma pensée
Dans mon lit auprès de mon ange
mon sommeil.
J’offrirais à la lune mon sourire
au soleil ma reconnaissance
et la nuit le cour de ma pensée
Dans mon lit auprès de mon ange
mon sommeil.
Celui qui réfléchit est déjà
dans le futur.
Trop penser aux conséquences
souvent décourage.
Comme lui-
le soleil brûle toujours son feu
Toutes les fois que mon désir
stérile le désert par la porte du néant
n’est que la lance du jour bataille le vent
la dune.
Toutes les mains tendues
ont le même désir.
Ils égaux le jour et la nuit
dans le temps.
Un scorpion?
je dis un jour
j’aime en lui la gratuité de son
venin j’aime Eve pour lui
Naturaliste est son jour.
Il y a des râteaux pour la terre
il y a des des peignes
pour les barbes des tyrans.
Il y a des peignes
pour tous les cheveux.
Colère qui n’est ni sourire ni pensée
image mais corps d’un feu qui brûle
qui déchire le regard
la main qui frappe la souillure.