L’appel seul suffirait -il
mille ondes au du temps
ta poésie tombe dans la nuit
comme le sourire de la lune
dans tes yeux.
L’appel seul suffirait -il
mille ondes au du temps
ta poésie tombe dans la nuit
comme le sourire de la lune
dans tes yeux.
Chaque échos une montagne.
Chaque nuit une situation.
des semences de paillettes des étoiles
se distillent de matrice des horizons
dans les bras de la voûte céleste
comme la poussière du temps.
Chaque parole est un apprentissage.
La meilleur des paroles
est celle
que la vérité confirme.
Répéter mes anciens souvenirs
Rien dans le présent des vagues
des gens ne m’est étranger
où est hier dans les plies du temps
pour que je contemple le présent.
La droiture de ta parole
ne tient qu’a toi.
Certaines parles sont comme
plantes il y a na qui sont comestibles
et d’autre ne sont pas.
Par les souvenirs la mémoire
s’imprime comme la couleur du ciel
sur page de l’horizon.