Chaque regard est l’épée
de son maître.
Chaque regard est l’épée
de son maître.
Chacun ne peut que être
sa nature.
Il se peut que la nuit cache
son coutelas dans la lune
au rêve du matin en perspective
du soleil égorgé.
Ceux qui sont vils
ne cherche que leur intérêt.
Leur nature est fade
ceux qui sont vils.
Ma parole soutient ma foi
est remède mes désirs
mon plaisir l’armée de mes pensées
au grand jour.
A un grand homme on ne
dit pas la misère.
A l’homme bien né
un mot suffit.
Exténué par ce temps qui cour
Je me rebelle dans une prison
comme à Gaza nuque tendue
le talon coupé et près du sabre
je pleure parce que mon chant c’est la mort.
l’arbre a besoin de sa racine.