Aime qui tu voudras
tu finiras par le quitter.
Aime qui tu voudras
tu finiras par le quitter.
Vis autant que tu voudras
tu finiras par mourir.
Le halo du soleil
lui soufflait sa pensée
et sa vie était un visage
une fleur et son parfum.
L’eau ne coule que
dans un sens.
Comme celui qui à vendu
son champ et acheté une charrue.
Un autre regard qui revêt l’horizon
je dessine ses traits
je marche son jour
par les pieds du temps.
Il construit un palais
et détruit une ville.
Si j’extirpais mon souvenir au temps
Saurais-je ce qu’est la nuit
pour qui ? et pour quand?
les étoiles brillent.
Si ta corde usée ne te sert
plus à rien ne l’a garde pas.
La langue d’un printemps
Retour d’un regard vers la plaine
le lointain souvenir
remonte le temps.