ö soif dans mon esprit
une mare sur ma route
lacère la rose
de mes yeux.
ö soif dans mon esprit
une mare sur ma route
lacère la rose
de mes yeux.
L’homme est de verre
si on ne le traite pas
avec douceur il se brise.
Sable et tourbillons
mon corps navigue
aujourd’hui le vent
union de l’air et du feu dans une mare
Union de la nuit et des rêves sur le char
de la vie.
Les hommes sont comme le temps
moitié lumière moitié ténèbres.
Certains gens
regardent le jour comme si
c’est premier jour de création
d’autres regardent la magie faire son effet
chaque jour un nouveau soleil chaque soir
une nouvelle lune sans jamais savoir qui les
soutient.
Les hommes sont de trois sortes
les uns sont très utiles
les autres on a n’a besoin
et ceux qui ne sont ni utiles et comme
un mal dont on n’a jamais besoin.
Concède-lui ö vent ton amour
du coeur de l’invisible
des tréfonds de ta lune
concède-lui ta pensée.
L’homme en soit est peu de chose
une goutte au commencement
et la mort a la fin.
Ténéré lui révélerais-je son identité
confusion au bord de dune
deviennent les maux les blessures
enracinées dans le sable
mémoire ancienne de parole et de nostalgie.
L’homme courageux
fait d’abord la guerre a son
orgueil.