La bataille fait rage
les lances les flèches
filent a tout vent
des cris de bravoure des pleures de douleur
tout l’horizon est pris d’une atmosphère
lourde .
La bataille fait rage
les lances les flèches
filent a tout vent
des cris de bravoure des pleures de douleur
tout l’horizon est pris d’une atmosphère
lourde .
Le cheval peut toujours mordre
sur le mors.
On fait mordre une fois
par le serpent.
Les coeurs l’ont signés
les esprits le veulent
et les enfants l’applaudissent
chacun peut donner sa version
où t-elle passée cette paix
que nous voulons tous.
Ce n’est parce que il te manque une dent
que tu as une fenêtre ouverte sur coeur.
Celui qui a des dents ne
se laisse pas mordre deux fois.
Le plaisir et le désir
prennent la place
et les chamelles blatèrent
l’envie et l’espoir se bousculent
dans l’oued il manque toujours de l’eau.
A un bébé on apprends pas
à mordre.
L’édenté crois toujours
qu’il peut mordre.
La brousse est malade
la route éternue
la plaine vomi sa poussière
la fièvre fait rage dans ces plateaux
où chacun a peur même de son ombre.