Les frontières sont franchies
L’esprit divague l’âme est malade
Et le corps est fatigué
tous les issus sont fermés
pas une lumière a l’horizon
tous on le regard dans le noir.
Les frontières sont franchies
L’esprit divague l’âme est malade
Et le corps est fatigué
tous les issus sont fermés
pas une lumière a l’horizon
tous on le regard dans le noir.
Quand le fils de l’unique sera
grand.
réflexion faite
Le veau reste à la bergerie
le lièvre dans le buisson
et la rivière sèche se tait
seul mouvement le vent qui
voyage sans bagages.
Chaque berger voudrait
avoir les meilleurs pâturages.
Il a vendu son âme
et réclame sa dépouille.
La commission siège
et chacun disait où est la route
où est ma part tous
pensaient à la dure saison
l’eau était rare et les pâturages
brûlés par le soleil
on a soif disaient les chèvres.
Il écarte les bras pour
arrêter le vent.
Il vend sa voiture et
achète un pneu de secours .
Les aidants ils sont nombreux
qui donnent la main
qui donnent de leur temps
qui sacrifient leur santé
où leur sécurité.
La beauté est dans le coeur.