Le juge à son juge
qui est sa conscience.
Le juge à son juge
qui est sa conscience.
Comme on juge on est jugé.
Ils sont malades
les enfants de la faim
ils assécher ceux à qui il manque de l’eau
ils fatigués ceux qui cherchent un coin d’ombre
ou juste ils doivent se posés .
La jeunesse ose ce que la sagesse
condamne.
La folie de la jeunesse est
guérit par le temps qui passe.
Il l’on but leur soif
leur douleur dans un puits sans eau
Sur les remparts de leur mémoire
la faim à égorger leur désir
comme des petits lapins dans un cage.
L’apparition du soleil ferme
nos yeux sur les ténèbres de la nuit
et loin dans nos mémoires le jour des bons souvenirs
montent la garde dans notre esprit
et le vent de nos désirs effleure nos regards.
L’apparition du soleil
nous que le jour arrive.
Le soleil est un élément
vital pour la vie
que l’on ne reconnaît que il
absent.
La jeunesse n’appartient qu’au
moment présent demain tu est
déjà vieux.