Tes printemps ont le goût
l’été et juillet les ramène
Quand j’écoute la plaine
je vois les hirondelles
naissent le papillons.
Tes printemps ont le goût
l’été et juillet les ramène
Quand j’écoute la plaine
je vois les hirondelles
naissent le papillons.
Plus têtu qu’une hyène
affamée.
Plus dure qu’une tête
de mule.
Célébration de la beauté
Par les voiles du sable
Chaque dune une rondeur
Chaque ondulation une marche
Le printemps tirer par le vent
Et chaque baisé est offert à l’horizon.
plus doux que l’eau
à l’assoiffé.
Plus doux que le regard
de ta mère.
Les mots du jour
Poussent le vent vers les sommets
célébration d’un désir de justice
le goût à la vie
tes regards tes printemps
Chaque juillet revient avec un espoir.
L’eau des montagne
est loin du Sahara.
L’eau de la bouche n’arrose
pas les palmiers.
La bataille vers le jour est
quotidienne et elle fait rage
dans les esprits mais entre
les bras et les mains
le soir tombe comme un marteau
Et le vent de dires tient le débat.