Chacun crois être
chez papa.
Chacun crois être
chez papa.
Plus intouchable
que le nez du tigre.
Corps de mots
vibration des regards
Poème des désirs
nomadisme des idées
en lieu et place des cités
des étoiles.
Qui peut détourner
la vie sa logique
sauf dieu.
Qui peut retourner la mer
de son cours.
Les nuits s’ouvrent sur des deuils
Qui déroulent leurs lots de tristesse
Trances de larmes traces de tragedies
A en caresser la colère le dégoût
noeud dans les coeurs avec une grande blessure
sur la poitrine.
Difficile d’avancer sans mettre
un pieds devant un autre.
Très difficile de dormir
sur une jambe.
La mort allonge les ombres
Déjà dans la trajectoire de nos mémoires
La haine vrille les yeux
et la colère tue les coeurs
et tous les espoirs construisent le néant.
On désir souvent ce qui
est inaccessible.