Dans ce chaos
Entre les ans et les lunes
Les jours s’arrêtent comme des oublies
Chaque crépuscule est hanter par une foule
de monstres invisible qui nous mangent
comme des fauves.
Dans ce chaos
Entre les ans et les lunes
Les jours s’arrêtent comme des oublies
Chaque crépuscule est hanter par une foule
de monstres invisible qui nous mangent
comme des fauves.
Les pauvres sont toujours plus
solicité.
Qui ne sait défendre son bien
les armes à la main
son bien lui est ravi.
Ce siècle lave sa bouche
Par le gargarisme des mots et
des paroles toujours sombrent
Dans nos pleurs rire
il y a toujours une nuit avenir.
Toutes les langues ne sont
pas fourchues mais celle du
serpent oui.
l’arme des faible c’est leurs langues.
Une fois de plus les jours passent
et se ressemblent
Comme un coeur battant
les aurores ramènent la vie
Il est certain que chacun à sa part
Aux portes de la voie lactée.
Le goût de tes larmes
est la marque de ton âme.
Les larmes chacun des yeux
peut en avoir.
Une fois de plus tu as des rêves
Il est certain que tu devras passer la nuit
Aux confins de tes rêves voilés
Cette idée te soutient depuis
tes crépuscules
la moisson sera.