La colère allume les feux
sans comestible.
La colère allume les feux
sans comestible.
L’avare est aussi fière
de son avarice que du riche
de ses biens.
Je suis sûr
Que chaque jour succèdera à un autre jour
Pas d’heures à vendre
mais des souvenirs
Achetez des heures pour la marche du monde
Donne leur la monnaie.
L’hyène qui revient bredouille
se contente des vieux os.
Le chat qui miaule
ne fait bonne chasse.
Sans les feux d’artifice
Les yeux voilés les renards courent
Le nid du hibou au clair
Comme les vendeurs a la sauvette
battant les cartes et criant
attention rien ne va plus.
Vouloir atteindre deux oiseaux
en vole est souvent impossible.
l’homme pressé trébuché souvent.
La marche forcée
Serai obligatoire sur la route du décompte
Et met mal en patience l’arme du jour
Et battre la plaine un devoir.
Celui qui dort se cache
de ténèbres de la nuit.