Regarde comme elles manquent
Aux voix du pays les jeunes filles
Qui chantent la paix
Mais aussi naïves de croire
Que chanter peut donner la paix.
Regarde comme elles manquent
Aux voix du pays les jeunes filles
Qui chantent la paix
Mais aussi naïves de croire
Que chanter peut donner la paix.
Ce que tu veut tu le cultive.
Dans l’amitié il n’ y a qu’une
celle du coeur.
Mon âme éprouvée languit
Sur la colline des lamentations
Juste à côté de la maison de la honte
C’est là que la paix est enterré
Par le glaive et par la fureur.
La main qui donne
peut aussi reprendre.
L’ignorant est toujours
à la traine.
Tu n’a pas rencontré les douces paroles
de ta mère dans les collines
qui dans leur dureté parlent la langue des pauvres
Tu n’a pas le rouge que les veines qui saignent de ton cousin
Dans ton gosier comme des gravillons
se frottent comme la scie .
Un pauvre est riche
parce qu’il n’a pas
de compte
a faire.
L’ignorance te fait boire
beaucoup d’eau.
Tu n’a que l’expérience du tragique
de la misère et de la honte
Disaient-ils
tu ne connais rien d’autre
Tu ne sais pas où aller
Les montagne font barrière
la nuit reste noire.