Un voleur crois qu’il est riche
mais il n’est riche que de peur.
Un voleur crois qu’il est riche
mais il n’est riche que de peur.
Le tumulte du marché
fait l’affaire du voleur.
Sa crinière décor les salons
Sa tête gronde dans les souvenirs
Et sa légende se fait vieille
Et toutes les révolutions rêver
Restent des vagues impressions
le lion est mort.
Un voleur ne dort que debout.
Voleur de conscience comme
l’ombre de l’aigle qui survole la vallée.
Alors qu’est-ce que le regard
Peut-être La vision multiplier
Venue des yeux où du coeur
Par les ailes de l’esprit
Qui génère les mondes.
Plus bête qu’une hyène
qui a faim.
Plus voleur qu’un rat
des champs.
Poète du clair de lune
Nous chante les étoiles
La fête du vent et la dense de la pluie
La légèreté de chaque souffle
Qui dessine ces lignes.
Ce que tu entends n’est pas
toujours le vent.