Le temps reste le cheval qui court
Directement enfermé dans les crépuscules
L’ère du lion dans la voie lactée est passé
Sa tête gronde encore à la cheville des nuits
Toute sa jeunesse balayé par les vents solaire.
Le temps reste le cheval qui court
Directement enfermé dans les crépuscules
L’ère du lion dans la voie lactée est passé
Sa tête gronde encore à la cheville des nuits
Toute sa jeunesse balayé par les vents solaire.
Chaque voyage t’amène a ta destination.
Le voyageur sais quand il part
mais ne sais pas quand il revient.
de partout des abris
Chaque détonation fait trembler
le sang toutes les routes en témoignent
de la violence et sombre enfermé
dans des peurs.
Seul le voyageur apprend de la route.
Le voyage trempe le caractère.
La révolution de vérité
Est devenue la révolution
de sang la révolution de la honte
La révolution sans issu
Mais les montagnes sont restées
inébranlablement en place.
Ce que le coeur apprécie
est déjà dans l’amour.
Ce que l’oeil ne voit pas
le coeur l’apprécie déjà.
Un jour du printemps
Tu dresseras ton arbre
Un jour tu écriras en lettres de feu
Ta vie sous l’arbre a palabre
Avec le sang de tes yeux
Pour raconter ta vie.