Le nombre des moutons
n’effraie le chacal.
Le nombre des moutons
n’effraie le chacal.
L’abondance de ses bien l’homme
croit couvrir ses défauts.
Tous ils ont écrit des mots
des lettres a titre flambant les vents
tous renaissent de leurs cendres
Pour la marche finale.
Qui n’a pas d’eau pour laver
son chagrin se contante de ses larmes.
La survie appartient aux abeilles.
L’amour cherche sa route
dans le camp des réfugiés
Comme un cheval sans sandales
Des galops sur des corps mourants
Des prières déjà perdues
L’amour de l’humain est condamner.
Chaque abeille une promesse
pour l’avenir et de l’homme et de la nature.
On ne prend le miel
qu’en volant la nourriture des abeilles.
Tu as pris la mesure de mon chagrin
pour me faire des confidences en cachette
Ah! parole qui à couchée
Avec un esprit libre
Je te donne la liberté va au vent
va aux étoiles.
être a l’étroit parfois te donne
de l’imagination.