Lorsque nous nous réveillons sur les rives
de l’horizon
Des voisins de la lune nous conduisaient
Etalant leurs phares aux terres désertiques
Et parlant une langue autre que la notre
Timide nous étions nous attendons.
Lorsque nous nous réveillons sur les rives
de l’horizon
Des voisins de la lune nous conduisaient
Etalant leurs phares aux terres désertiques
Et parlant une langue autre que la notre
Timide nous étions nous attendons.
Ne cherche que l’a où
il y a espoir de trouver.
La solitude vaut mieux
qu’une mauvaise compagnie.
Les enfants du Sahara
qui ont déserté les campements
la tente de leurs mères
Te sont apparus un par un
Dans un rêve éveillé
Et en groupe ils réclament leurs terres.
Le vent de de la paix
quand est ce que il soufflé?
Le soleil est le seul or entre
les mains des pauvres.
Nous avons rien qui mérite d’être évoqué
Sauf le sable et la roche noire
Que les scorpions et le soleil torride
Les vents chauds et la misère
Rien donner rien non plus a attendre
Sauf de dieu si il nous envoie une pluie
salvatrice.
Qui donne de la voix
donne un peu de sa vie.
A quoi bon un soleil qui ne chauffe pas.
L’heure n’est plus au regard
mais à la marche
la marche vers un destin lointain
Sur la place il reste encore les pas
Et les mots en deuil
Nous sommes encore dans l’attente.