On se fait toujours des soucis pour
ceux qui partent en oubliant
ceux qui restent.
On se fait toujours des soucis pour
ceux qui partent en oubliant
ceux qui restent.
On a plus de soucis à se faire
pour protéger ses biens que
l’on n’en a pour supporter le besoin.
Des ménagères cuisinent le soleil
Et l’arrosent des larmes
Et les autres se disputes le droit au rêve
Je croyais vous voir assez fort pour ne pas tomber
si bas la honte à la main
mieux vaut peut-être fuir
Dans la jingle de soucis.
La maladie est la moitié
de nos souffrances.
Les soucis sont la moitié
de la vieillesse.
Ainsi commence la journée
Tous les acteurs sur le terrain
Partout des bras partout des yeux
Partout du bruit toujours en action
Et les metteurs en scène decident pour les autres
Toi à gauche toi à droite
En distribuant la misère le chaos.
Le sort a visité toutes les campagnes.
Ce que le sort a noué
seul le sort peut le dénouer.
Ces derniers temps ma mère
Fait des comparaisons sur la lecture
de Jésus et Mohamed
Je vois des livres écrit sur la dalle d’essouk
Près du point d’eau le plus proche
Le bétail attend comme des religieux a l’ombre
des acacias mais souvent la bibliothèque est dans l’esprit.
Les menteurs sont souvent
épargné.