La mort est toujours la première
Dans les rangs.
La mort est toujours la première
Dans les rangs.
Ouvert sur le désarroi
Le feu du malheur se détache
de l’horizon libérait la mémoire des échos
de la folie ruminant chaque douleur
Par l’encens du goût du sang de l’innocent
Tous les esprits tremblent .
Le cris de celui qui es dans un puits
ne concerne pas ceux qui sont
sur la montagne.
La mort est le seul endroit
où ils sont tous égaux.
Présence silencieuse de l’espoir
La foule l’esprit lointain
Dans les nuages cherche
Mais vapeur et odeur de soufre
prennent la douleur à bras
Que d’espace fragmenté
et des coeurs brisés.
Les ténèbres reflète nos
peurs profondes.
La mort se situe entre la lèvre et le nez.
Tel est le voeux des crépuscules
Emoussant les creux de chaque ombre
Repoussant tourbillons et orages
Usant d’astuces chaque lune chaque étoile
les intentions vont et viennent.