A toutes les maisons de la lune
Aux ergs encore vierges
Aux nuages rares
pour des hommes jamais éblouis
Qui n’ont que leurs yeux pour pleurer.
A toutes les maisons de la lune
Aux ergs encore vierges
Aux nuages rares
pour des hommes jamais éblouis
Qui n’ont que leurs yeux pour pleurer.
Tout enseignement passe par une instruction.
la répétition instruit l’âne.
Que sont devenus mes plaisirs
Mirages et songes ébauchés dans le vent
Palpitations et peur qui gonflent les artères
et douleurs silencieuses qui rongent la nuit.
La chasse se prépare déjà la veille.
Celui qui veut t’apprendre
à chasser le lézard que tu a déjà en main.
Où est le chemin du temple
Aux bourdons jaune et noir
Aux pousses du printemps
A l’avènement du soleil bienfaiteur.
Qui peut accepter une mare dans sa
court que celui qui à eu soif.
C’est celui qui à cueillit la figue
Qui peut dire sa qualité.
Que sont sont devenus mes plaisirs
Mirages évanouies dans l’ombre
Tremblement dans le regard
Le regard du temps Qui cause les printemps.