Hier encore le déchirement
de l’absence
Le chatoiement du temps
Par le fouet de la misère
l’exile glisse sur chaque mémoire
Fatale tristesse dans ma main.
Hier encore le déchirement
de l’absence
Le chatoiement du temps
Par le fouet de la misère
l’exile glisse sur chaque mémoire
Fatale tristesse dans ma main.
Quand une larme tombe pensé à la source.
Le lion même en cage impressionne.
Comme des voyageurs figés dans leur marche
Le vent les étoiles avancent chantant la nature
les chemins les montagnes hébergent la fougue de chaque
élément
Les nuages surpris tombent sur les sommets
Tel des idées noires assoupi dans la mémoire.
Tes désirs ne sont pas toujours accessible.
Tu le vois mais tu peut pas l’atteindre.
O terre de sang
Tes larmes coulent chaque jour
o la vie trisse des nomades
L’homme ne connait plus sa mère
Il apporte aux cérémonies du thé des scorpions
Au pays où le soir coule.
celui qui plante une dattier
ne peut pas récolter des oranges.
Quand tu fait du mal ton
âme le sais.
Te voilà plantée
dans mon âme
Tristesse que je hais…