Celui que tu me laisses dit
la vieillesse à la mort je te le entamerai.
Celui que tu me laisses dit
la vieillesse à la mort je te le entamerai.
Si désir n’est
Promesses seraient paix
Mais paix égorgé
Silence violé
Au milieu de mille visages déformés
La misère sans fin étouffe sa vérité de rêve lointain
Aveuglement la douleur muette que la mort n’annule
Comme un tourbillon de passage
Déjà aux archives de l’humanité.
Celui croit dans ses forces
peut se mesuré au lion.
Les années ne se dissimulent dans sac.
Par-delà le temps
Jour de misère
misère de nuit
Libere-nous
De ta prise
Où consume-nous
Nous-même paille de feu
Tu es souffle tu es ouragan
Où va tu .
La prudence est le couvre chef
de chaque noblesse.
Mauvais jeune homme
produit mauvais vieillard.
Sur ta route tu donne vie a tout
N’est-ce pourtant toi nature
Qui rends unique la vie
N’est-ce toi le vent et l’horizon qui
parcourent ce paysage
Qui soudain rappel la mémoire des choses.
L’homme le plus petit à son rôle a jouer.
Chez les hommes il n’y a pas
de viande maigre.