Entre l’air et le vent
Rien sinon
L’horizon
Le vol des oiseaux
le vol des migrants
le passage de la mémoire.
Entre l’air et le vent
Rien sinon
L’horizon
Le vol des oiseaux
le vol des migrants
le passage de la mémoire.
Le voleur n’est pas le plus courageux.
La guerre n’est pas une battue.
Le vrais est toujours
Une route droite
Et qui sans nous fait son chemin
Né d’une réalité qui tranche le rouge et le noir
Le vrais est toujours ce qui fait tremblé
Entre frayeur et vérité.
La vrais honte est de mentir
Sur qui on est.
C’est une honte d’ouvrir une pastèque
Sans trouver de graines.
Boire le soleil jusqu’au
dernier rayon
Avant que tombe l’arbre de la nuit
Boire jusqu’aux racines la vie
Racines de jour racine de nuit
Broyant l’espoir dans chaque creux
Jusqu’à l’oubli des orages et de tempêtes
Avant qu’éclose le désir.
Si la nuit est claire on n’en parlerait
pas.
S’il n’y avait pas de tort on n’en parlerait
Pas.
La vrais victoire est ici
Nous cherchons ailleurs
Ce qui est déjà
Quelques saphirs que le soleil à nourrit
Et maints roses que la brise à venter
Au travers des jours chaque nuit une gloire
Chaque effort un espoir.