Mieux vaut savoir ce qu’on dit
avant de l’énoncer.
Mieux vaut savoir ce qu’on dit
avant de l’énoncer.
Il est comme le caméléon.
Tout départ un au-revoir
Lorsque depuis sa pose
On se retourne
Vers sa patrie ou sa maison
Déjà a l’horizon loin derrière
On voit le regard de son amour
Là où pour la première fois chacun
à le droit de citer.
Les ans ont la même duré.
Il est comme la poulie
Elle répète toujours le même bruit.
L’heure accompagne l’absence
Du long de son corps paresseux
Quand l’averse éloigne les rideaux de poussière
Goutte après goutte chaque chaque
plaine donne sa poitrine
Pour le sacrifice des saisons.
Chaque enfant grandi sa maison.
C’est le mot avec lequel l’enfant
est sorti de la maison.
Après la douleur
Muettes et cris
La poussière de midi distille l’ennuie
La lumière est étrangère dans ce
monde du coeur
La parole attendue ne sera pas dite
Tous espoir bu.
Quand tu as soif pensé
aux points d’eau que tu connait
peut te soulager.