Si je connaissais le lieu de ma mort
je l’éviterai.
Si je connaissais le lieu de ma mort
je l’éviterai.
Trop proche ou trop loin
Une flamme brûle
trop loin un orage s’enfuit
L’horizon soudain a porté de main
Toujours en avant par-delà les étoiles.
Réflèxion avant la réponse
est la prudence.
Le mauvais berger ne prends pas
des précautions que quand il subit une perte.
Derrière le regard les yeux
D’où infiniment advient chaque sentiment
D’où découle la beauté et le rêve
Bruissant entre plaine et oueds
Chantant en mélodie le vent
Les saisons renouvellement de chaque printemps
De la vie offerte aux papillons et aux abeilles.
chaque lune est la mère de son ombre.
Ce n’est pas le jour de la chasse
qu’il faut apprendre a ton chien de chassé.
Ton regard tout de clair de lune
Si offert à l’horizon qu’a jamais
l’aurore dépose son voile
Crépuscule de ta vie aube de ta marche
Qu’au fond de ton coeur une autre vie renaît
et lentement les lunes prennent corps
Sachant faire siens lumière et ténèbres
Comme chaque soif et chaque faim de l’âme
jusqu’au murmure du jour levant.
Tous les regards ne voient pas
la même chose.
Un sac fermé protege son contenu
du regard.