La seule banque où on ne risque pas
d’être léser c’est la parole.
La seule banque où on ne risque pas
d’être léser c’est la parole.
Même la rose à besoin d’entretient.
La vie la mort
La mort la vie
Je suis ici hier ailleurs je suis resté toujours sans savoir
toute philosophie mi a part
je suis où je suis sans savoir où je vais
La mort est présente la vie toute dépassant
je suis mort le jour de ma naissance
je suis né le jour de ma mort sans savoir où je vais
De pitié de sagesse mon dieu de tout miracle parfait
Vous faites la vie la mort
On naît seul on meurt seul la solitude
accompagnée chemin tendu vers la fatalité
la magie dans mes yeux est arrivée la vie et la mort les a fermés
Tant j’étais dépasser je suis conscient que mon esprit est absorbé si ivre que
mon coeur est resté sans sens.
Même le nuage ne peut pas
voyagé plus haut que le ciel.
Même la pluie ne pas tombée
plus bas que la terre.
Sans attaches j’ai voyagé
Sans destination j’ai voyagé au bout de ma destinée
Sans route je suis allé à l’encontre des routes
Marchant je me laisse aller
Mon attache sans attache prend sa liberté au-dessus
de mon esprit j’ai voyagé en délicieuse errance
Vers le but de mon voyage c’est pourquoi mon voyage à un sens que mon âme
a cautionnée sans gène
Malgré la fatigue en cette existence ma souffrance n’est pas un prétexte car si je manque de confiance mon coeur pleure d’amour et les maisons célestes
L’amour d’une telle quête à lui seul donne sens a la vie
Telle est faites l’oeuvre de dieu depuis que je la cherche elle consume mon âme
Comme un feu ardent qui brûle mon coeur que je sans en moi un empressement
qui ne laisse rien
lui et moi et moi et lui/
La pérennité des cieux
O je crois au mystère qui prévaut là-haut
Cette lumière éternelle est vivante
J’imagine d’où elle surgie malgré la distance
Son origine est de diamant et voyage par le vent
Je sais qu’elle est la première beauté et que fleurs et prairie
ce délectent de son essence
Toute chose tend son âme vers en sa profondeur
Et nul ne peut l’égalé même pas le soleil dans les bras de la lune
Je la sais si forte baignant le paradis le silence et la nuit.
Même la pluie ne peut pas
tombée plus bas que la terre.
Même le plus grand
ne peut pas dépassé sa mesure.
A la maison du bonheur il y a
toujours un coin agréable.