Au désert le nomade appartient
à la terre et pas le contraire.
Au désert le nomade appartient
à la terre et pas le contraire.
Midi silencieux
L’orange mûrit son parfum embaume les landes
Le melon mûrit son parfum
Les cigales transportent leurs chants dans les cimes
le long d’une prairie heureuse la plaine
A perte de vue manifeste sa joie.
Que savon- nous des anciens
De leurs peines et leurs souffrances
Que savons-nous de leur pays
de leur héritage de leurs joies
D’autres que nous retrouveront
L’écho de leurs voix sur la dalle du pré
parmi les sables rires et les larmes.
Tous les habitants du désert voyagent
avec beaucoup de paysages en tête et avec le
stricte mini môme de matériel.
Tous les habitants du désert vous le dirons
leur compagnons c’est le silence.
La richesse incontestée
au désert c’est l’eau.
Les portails du désert sont toujours
ouverts les caravanes vous le dirons.
Nous avons longtemps suivi un sentier éparse
Et nous arrivons au sommet de la dune
Nous nous donnons au vaste horizon qui s’offre
Très loin les nuages perchés le blanc brille
a travers la brume subite apparition
Soudain nous nous écrions mais c’est notre espoir
Familière in connu toute présence animée.
Au désert chaque relief
est une étape à franchirent.
Si la forêt brille par sa végétation
le désert lui brille par ses rides
et son sable.