Quand l’hyène a fain dans l’ombre de sa tanière
traite les yeux de son petit d’yeux d’agneau.
Quand l’hyène a fain dans l’ombre de sa tanière
traite les yeux de son petit d’yeux d’agneau.
L’océan est plein et grand mais il y a toujours
de la place pour la pluie.
C’est le sentier qui mène au lieu dit.
Le voyeur ne peut pas cracher sur le nu.
Le jour de l’accouchement
on ne peut caché sa partie intime.
Je suis marathonien je parcours le monde
dans la langueur de mes pensées
le désert est ma patrie ses longues plages
sont les plaines de mes yeux
ses vates horizons conduisent mon âme au concert des astres
là-bas les landes du ciel bleu
je suis marcheur de mes pensées
les sandales de mes yeux c’est le vent
qui transporte graine par graine toutes les dunes
de l’île de ma mémoire j’ai vu l’onde parcourir les rides de sable
qui par la plume du temps à écrit la légende de ma vie
et les hanches de la lune étaient témoins
j’ai longé ce chemin qui va de mon coeur à mon esprit
une nuit sans égale.
Les règles trois de bienséance
Règle une aider
Règle deux aider
Règle trois aider.
Qui savoir apprend.
Dans mes rêves les plus fou
je n’est pourrai imaginer l’océan
dans mon esprit saharien
mais la grandeur et silence des grandes étendues
Où chacune parle son langage de mirage
et son vide de désertion ou chacun prend ses jambes
vers une destination meilleur.
L’oignon reste plein son âge.