Je ne cessé de rire que
jusqu’à mes pleurs
Je ne cessé de pleurer que
jusqu’à ce que j’ai la joie.
Je ne cessé de rire que
jusqu’à mes pleurs
Je ne cessé de pleurer que
jusqu’à ce que j’ai la joie.
La victoire du groupe n’est que celle du nombre
Et celle de soi-même est véritable.
Celui qui acquiert la connaissance dans le tumulte
de la vie n’en fait pas une victoire mais un chemin éclairé.
Le soleil juste devant
En chemin en forêt
En rose parfum lointain souvenir
Où proche que le jour
Nous n’avons pas réfléchi faute de sujet transparent
Et d’un coeur baillant pour la liberté.
Un être sans liberté est comme un corps sans énergie
Et la liberté sans le bon sens ressemble à une âme
Fatiguée.
L’hypocrisie est la soeur de la méchanceté.
Nous ne pouvons rien
Le génie en nous a parlé
un espace a apprivoisé
le jardin de nos âmes des vapeurs sont montées
des cîmes des forêts au sommet de la montagne
Les papillons ont couru les uns vers la joie les autres vers la lumière
en nous le désir est grand comme un rêve étouffé
Je cherche le rien dans le silence qui longtemps s’enfonce dans le néant.
Le bonheur de l’homme est dans sa gloire
et la fierté qu’il en tire de la beauté de sa femme.
le bonheur de la femme est dans son enfant
et la moitié dans la confiance dans son amant.
Large pleine
Ciel haut
Le désert terrestre a toujours faim
Tant que le roux du blé file l’horizon
Vos coupes manquent d’humidité
Déjà le désert les a léché par des longues traînées d’ombre
d’un soleil carnassier
L’aile étincelante du temps a renouvelé son arrivée
Comme les ondes parcourant le mirage
Arrive la cohorte d’insectes voraces comme l’éléphant
Un instant encore elle fait don de son sein
comme pour dire venez par vous pour vous je suis le décor.