Je marche autour de la maison
j’entends le silence
la voix de la lune
par la bouche du vent mais
je n’aperçois aucune âme.
Je marche autour de la maison
j’entends le silence
la voix de la lune
par la bouche du vent mais
je n’aperçois aucune âme.
La maison
Maison du doute en la voyant
tu te souviens de l’année de l’éléphant
et te souviens d’un jour terrible.
Il dit qu’il vit dans la maison
de l’amour dont le temps est passé
et donnait la main à la lune
dans son sommeil.
C’est l’instant du doute
le crépuscule pose ses voiles
sur les épaules de la nuit
l’instant ou l’âme frémit
et déserté de toute raison.
Hier raconte
derrière la mosquée
satan courait me donnant la poussière
de ses jambes
pendant le moi du jeûne
un jour sacré.
Un mendiant tend le coeur
et ouvre son coeur vient avec l’aube
de ses désirs accompagner
d’une prière il raconte demain
et les jours passés.
Afin d’enlacer la nuit
la lune fuit le trône de l’horizon
les paupières des étoiles ferment
leurs roses par châle du vent.
Un silence autour de la dune
la fête se prépare
de même que la rose de sable
les collines seront au red-vous
la plaine lira la poésie.
J’ai écoutée rose prier
la dune était imam
et la lune appel à la prière
Son parfum était le voile.
Au-dessus de l’horizon un oeil
des mains fabriquent le temps
qui s’étire aux confins des cieux
sur la poitrine de la lune.