Dans ce brouhaha du monde
on a oublier les dires des anciens
ils poussés rapidement les mauvaises graines
Avec des pétales rouges comme du feu
Chaque jour une calamité
Chaque heure une déception.
Dans ce brouhaha du monde
on a oublier les dires des anciens
ils poussés rapidement les mauvaises graines
Avec des pétales rouges comme du feu
Chaque jour une calamité
Chaque heure une déception.
Chaque don est une avance
pour les jours avenirs.
Quiconque est avare
des bienfaits de la nature
est méprisable.
Je suis sûr
que le commerce sera lucratif
au dépend de nos vies de nos pleures
Les heures tardives de chaque désir
sont le roulement de la rouille
Acheter des consciences du troisième millénaire.
Un pauvre à qui on a prêter
un bel habille pour le mariage
de son fils c’est tromper d’un jour.
Celui qui ne rend pas le salut
est le pire des avares.
Sans me soucier des feux du soleil
Des yeux des tyrans
Ni du bruit de la rue
ni même des cris des vendeurs
du mensonge battant les routes
Et vendre des heures déjà passé
sur le dos des pauvres.
Le chacal est toujours suspect
même si il n’a pas commit
de méfait.
L’avare vie comme un pauvre
même si il est riche.
Finalement rien n’est gagné
Obligé de prendre les traces
de ma mémoire pour mon bonheur
Et de battre le tambour de mon coeur
Jusqu’à ce la nuit tombe
je m’oublie moi-même
Désire de rester humain.