Sans me soucier des feux du soleil
Des yeux des tyrans
Ni du bruit de la rue
ni même des cris des vendeurs
du mensonge battant les routes
Et vendre des heures déjà passé
sur le dos des pauvres.
Sans me soucier des feux du soleil
Des yeux des tyrans
Ni du bruit de la rue
ni même des cris des vendeurs
du mensonge battant les routes
Et vendre des heures déjà passé
sur le dos des pauvres.