par le bras du destin le vent
roule le sable par corps de la plaine
au bord de la rivière l’herbe apprécie.
par le bras du destin le vent
roule le sable par corps de la plaine
au bord de la rivière l’herbe apprécie.
Le regard conduit la dignité
par la route du coeur
au pilier de l’âme l’esprit
allume sa torche.
Chaque partie veut sa part
la gerboise la nuit
la chèvre le buisson
par le vent la montagne à mal de tête
et vous où en est vous .
chaque jour coule son soleil
les larmes de la nuit.
Je dirais au temps le sable
de terre est dans mes yeux
comme le limon de ma vie
par kilos dans ma mémoire.
la peau d’un mouton peut
cacher un lion.
Un crocodile peut cacher un autre.
Dis adieu au printemps
aux fleurs aux papillons
oublie ta douleur à la nuit
dans la main de la lune
ton souvenir est dans tes cris.
Quand le lion montre
ses dents ne crois pas que
ce soit pour sourire.
Aussi beau que le fleuve il peut
cacher des crocodiles.