Le sable roule le vent
ou serons-nous ensevelis
par la poussière dans les yeux
au confond de chaque âme l’image
est présente.
Le sable roule le vent
ou serons-nous ensevelis
par la poussière dans les yeux
au confond de chaque âme l’image
est présente.
L’aveugle est toujours dans nuit.
Il est sûr de s’égarer celui que
des aveugles conduisent.
Le sable qui couvrait ma terre natale
dissimule aujourd’hui ma mémoire
je rêve d’un vent contraire
qui emporte la poussière vers les nuages
de mes souvenirs.
Le piège que tu dissimule
dans la nuit toi même
tu tombé dedans.
Le puit de la trahison
celui qui le creuse tombe dedans.
Vous possédez tous même ma vie
Et je suis comme un étranger dans ce monde
qui n’a que une heure pour se changer
et écrire une lettre au maître de puissance.
Il y a une peur qui sauve.
Ce n’est pas parce que tu peur
de la mort que tu ne va pas mourir.
Dis au revoir à cette douleur du monde
à cette déchirure dans ton regard
dans ton coeur qui cause la perte de ton espoir.